Des Roses Et Du Jasmin, Adel Hakim – Cie Nom D’une Troupe | Théâtr'Elle

Il est fort difficile de se libérer, ne serait-ce que partiellement, de ce poids du passé. A moins d'avoir conscience qu'il existe. Et d'en parler. Dans "Des Roses et du Jasmin" ce n'est pas seulement du Moyen-Orient qu'il s'agit ou de communautés particulières. Des roses et du jasmin | Adel Hakim by Théâtre national de Strasbourg - Issuu. C'est ce que nous vivons tous, d'une manière ou d'une autre. A Savoir: En arabe surtitré en français 14 mars 2022 Fin du Pass Vaccinal Pour Tout public à partir de 15 ans Théâtre contemporain Langue: Arabe Durée: 180 minutes soit 03h00 Evénements associés: Adieu Monsieur Haffmann Effleurer l'abysse Chirac Un héros Vert Territoire Bleu Dialaw project vol. 1 Darius Alice Guy, Mademoiselle Cinéma Feel good Glenn, naissance d'un genie

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Des Roses Et Du Jasmine

Des Roses et du Jasmin retrace, de 1944 à 1988, le parcours d'une famille où s'entrecroisent destins d'Israéliens et destins de Palestiniens. De l'évocation de l'extermination des Juifs d'Europe à la première Intifada en passant par la guerre des Six Jours, le spectacle est un tour de force époustouflant, entre saga et tragédie antique. Des roses et du jasmin, l'histoire de la Palestine version tragédie antique L'Oeil d'Olivier. "Des roses et du jasmin" d'Adel Hakim - Teaser Image d'une critique concernant « Des Roses et du jasmin », le bel espoir d'Aden Hakim, pour une tragédie sans issue Par Marie Velter mardi 20 mars 2018 Image d'une critique concernant Des fleurs et des pleurs en mémoire d'Adel Hakim Par Anne Diatkine vendredi 09 mars 2018 Ivry-sur-Seine Le vendredi 20 janvier 2017 Théâtre des Quartiers d'Ivry Janvier 2017 L M J V S D 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 Mars 2018 Toulon Du ven. 13/04/18 au sam. 14/04/18 Le Liberté, scène nationale Avril 2018 30

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Fidèle au texte de Adel Hakim, Hélène Blondel propose ici une version recentrée: on rencontrera ainsi Myriam, John, leur fille Lea, Aaron, le frère de Léa, puis Moshen, Saleh, Jasmine… Des comédiens investis pour incarner ces personnages à la fois liés et déchirés par le sang: notons particulièrement Marie Velter qui incarne successivement Myriam et Rose avec nuance et justesse. Si le reste de l'équipe joue le jeu avec beaucoup de conviction comme Juliette Baud, convaincante en Yasmine révoltée, ou Aurélien Legrand, qui donne beaucoup de rage à son Aaron, Julien Bertaud (John, choeur) détonnait hier en enfilant ses répliques sans réelle conviction, notamment dans la première partie. On lui souhaite de rencontrer enfin son personnage et de lui donner toute l'épaisseur que le rôle de cet officier britannique permet. Des roses et du jasmine. Si hier avec Leocadia la musique, devenait magnifiquement un élément de décor voire un personnage à elle seule, elle est utilisée parfois inutilement pour souligner le texte: le public n'a pas besoin qu'on lui indique que le moment est tragique en assénant une bande son adéquate.

Au fil de la pièce jusqu'à sa conclusion, une question se pose. Simple et pourtant essentielle. « Qu'en est-il de l'amour? », que peut l'amour au cœur de nos vies, l'amour supposé au dessus de tout, face à tant de haine et d'atrocité humaine. Et finalement que peut l'homme, si minuscule et dérisoire, face à une mécanique qu'il ne contrôle plus? « …D'en prendre conscience. Et d'en parler. » propose, par l'objet même de ce projet, Adel Hakim. Des Roses et du Jasmin - Comédie de Genève | théâtre. Ce questionnement prend chair quand l'on écoute cette pièce jouée en arabe par une troupe palestinienne. Ce questionnement résonne d'autant plus fortement, quand on sait que le spectacle a été créé pour être joué au Théâtre national palestinien à Jérusalem; que l'équipe a dû se battre pour faire accepter, sur la scène palestinienne, d'aborder un pan de l'histoire juive*. Un questionnement qui devient puissant quant à la sortie du spectacle, des jeunes lycéens, dont c'est sûrement les premières fois au théâtre, totalement emballés par ces 3 heures de spectacle surtitré en arabe, se lancent des « j'ai grave kiffé », « Olala, ça m'a choqué » et continuent d'en parler… Une tragédie sans issue mais qui finalement nous gonfle d'espoir.