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Abus et ignorance de l'Église? Plusieurs questions devront être tranchées dans le cadre de cette action collective, notamment à savoir la communauté ou son fondateur ont mis en place un système asservissant les membres et les rendant vulnérable. Le tribunal devra aussi se pencher sur de possibles abus physiques, spirituels ou psychologiques des membres les plus vulnérables de la communauté, et sur le fait leur bien-être physique pourrait avoir été mis en péril. Marie jeunesse secte b. Concernant l'Archidiocèse de Sherbrooke, la juge se demande si la reconnaissance à Marie-Jeunesse lui a été accordée alors qu'elle « avait en main » des informations lui permettant de croire que des abus y avaient lieu. De plus, elle devra déterminer si l'Église a pris ou non des mesures raisonnables afin d'apporter l'aide requise, ou si elle a choisi d'ignorer les abus. Par communiqué, l'Archidiocèse de Sherbrooke a indiqué accepter favorablement la demande des plaignants. L'Archidiocèse de Sherbrooke compte maintenir ses efforts de collaboration avec la justice et assurer sa défense dans le cadre des prochaines étapes du dossier.
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Fondation Marie-Jeunesse, Maisons Famille Marie-Jeunesse de même que la Corporation archiépiscopale catholique romaine de Sherbrooke, qui a reconnu Famille Marie-Jeunesse comme une association privée de fidèles en 1992, sont aussi visées par le recours en dommages-intérêts. 13 septembre 2021 20h57 Mis à jour à 21h07 L'action collective contre Famille Marie-Jeunesse et son fondateur, Réal Lavoie, pourra aller de l'avant. La Cour supérieure a autorisé lundi la demande faite par le Québécois Pascal Perron au nom de toute personne ou succession de personnes décédées qui ont été membres de cette association religieuse de confession catholique et qui ont été victimes d'abus « physiques, spirituels et psychologiques » au Québec entre 1986 et aujourd'hui.

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18 décembre 2019 11h48 Mis à jour à 20h03 Un résident de Québec demande l'autorisation d'exercer un recours collectif au nom de toutes les personnes ou succession de personnes décédées «qui ont été victimes d'abus physiques, spirituels et psychologiques» au sein de Famille Marie-Jeunesse depuis 1982. Cette communauté qualifiée de «secte» par le demandeur aurait agi avec l'approbation de l'Archevêque de Sherbrooke, Monseigneur Luc Cyr, et de ses prédécesseurs, allègue-t-on dans la requête déposée mercredi à la Cour supérieure.

Les membres de la Famille Marie-Jeunesse, visée par une action collective, se disent « attristés » par la souffrance vécue par les potentielles victimes tout en indiquant que le fondateur de la communauté ne vit plus avec eux et que son statut devra être établi par un juge. • À lire aussi: Recours collectif autorisé contre la Famille Marie-Jeunesse Regroupant autrefois jusqu'à 130 membres dans cinq « auberges » dont à Québec, à l'île de la Réunion et en Belgique, la communauté Famille Marie-Jeunesse ne regroupe plus que 21 membres réunis à Sherbrooke. Le fait que la communauté soit officiellement reconnue par le diocèse de Sherbrooke n'a pas empêché une experte de qualifier le groupe de « secte totaliste ». Marie jeunesse secte des. La décision d'une juge d'autoriser une action collective contre la communauté pour des abus spirituels commis depuis 1982, une première au pays selon les avocats du demandeur, n'a toutefois pas semblé ébranler la foi des membres toujours présents. « On ne se reconnaît pas dans le portrait général qui est fait de nous », a dit Jean-François Pouliot, l'un des membres internes.