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"Baise-moi citron vert... " Quelle audace! :) De jolies images, de l'originalité et un bon rythme. Le citoyen onirien que je suis n'en demande pas plus.

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La poétesse entend ici revivifier sa relation au goût. Aussi fait-elle surgir l'amer par l'intermédiaire d'une épice: le gingembre, poivré, dont les vertus médicinales sont par ailleurs reconnues. Abondé par le champ lexical du fruit à même d'être pressé, le monde gustatif s'ouvre largement à l'acide et au frais ("picote", "acidulée", "givré"). La vitamine est gage d'énergie, de revitalisation soudaine du corps (rime: "pamplemousse" et "secousse", jeu antithétique: "hiver", "printemps"). La communion avec le fruit se fait donc on ne peut plus... pressante... avec le déploiement des impératifs au coeur même du poème (invitation au partage sensuel: "Déroulons", "Caresse-moi", "baise-moi", recours à de verbes pronominaux à sens réciproque: "aimons-nous", "offrons-nous"). Une étoile de plus dans le ciel poème dans. Merci pour ce partage! troupi Bonjour Arielle. C'est en dégustant une mandarine bien juteuse et sucrée que je prends le temps de laisser quelques mots sous ton texte qui n'en a pourtant pas besoin vu le nombre de commentaires qu'il a reçus.

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Je remarque que les deux derniers vers des trois derniers tercés sont liés par des rimes, ou assonance pour le dernier, alors qu'il n'en est rien pour les deux premiers tercés; ceci dit, cela n'enlève rien à ce juteux poème. Ayant "bu mes vingts ans" depuis un temps certain, j'en retrouve la saveur en dégustant votre cocktail. emilia 2/2/2016 Une recette acidulée et pimentée à souhait qui révèle comme un filtre secret pour retrouver le goût du printemps avec des mots qui chantent, s'appellent et se répondent, surtout dans les trois derniers tercets, accentuant un effet primesautier renforcé par ces rimes internes: sanguine/mandarine, vert/hiver, agrumes/allume, pour un cocktail pétillant et vitaminé à conseiller… Francis Salade de fruits, jolie, jolie! La recette du bonheur? J'en ai aimé la fraîcheur, la légèreté. L'expiation - Victor HUGO - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. Oui, buvons nos vingt ans sans modération. Coline-Dé Ces agrumes torrides viennent à point réchauffer une queue d'hiver languissante! Beaucoup de légèreté, de fraîcheur dans le verbe: entre Louise Labbé et Ronsard: "Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi, Haleine contre haleine, échauffe-moi la vie, " te voilà bien gardée contre la vulgarité et contre le ridicule ( dont tu te moques d'ailleurs tant ta liberté et ton talent t'en mettent hors d'atteinte! )

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Il sonne bien, en effet. Votre poème est simple, mais il a le mérite, comme certaines bonnes recettes, de nous mettre l'eau à la bouche. Merci de l'avoir partagé. Pimpette Passionnément Dans cette écriture ariellesque, toujours une légèreté d'aile! Joli sujet et traitement des mots simple et efficace... même sur un texte léger on sent le métier en de laborieux, mais un poète usieurs recueils l'attestent d' les feuillète souvent... "Caresse-moi sanguine frisson de fruit givré aimons-nous mandarine et gingembre poivré' C'est bo! Poème etoile - 36 Poèmes sur etoile - Dico Poésie. widjet Bien J'aime beaucoup ce mélange d'acidité sensuelle, ce petit cocktail tendre et sexuel de fruits et d'effusions donne l'eau à la bouche et des frissons rikiki sur l'épiderme. Le titre, lui, est exquis, le texte court juste ce qu'il faut. L'ensemble est délicieusement osé. W Ramana Tenant, par mes lointains ancêtres, d'une part de la lignée des grands singes arboricoles lesquels ne se nourrissent que de fruits, et d'autre part de celle des bonobos plutôt portés sur la "secousse", je ne puis qu'applaudir votre prestation qui réjouit mon atavisme.

Je les vois engager une lutte éternelle; L ' image horrible est là; j'ai devant la prunelle La vision des maux qui vont fondre sur eux. Ce spectacle navrant m' obsède et m' exaspère. Supplice intolérable et toujours renaissant, Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère Que rien n' arrachera ces germes de misére Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang. Pourtant, ô Jupiter, l' homme est ta créature; C 'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé, Cet être déplorable, infirme, désarmé, Pour qui tout est danger, épouvante, torture, Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé, Étouffe et se débat, se blesse et se lamente. Etoiles filantes, poème de François Coppée - poetica.fr. Ah! quand tu le jetas sur la terre inclémente, Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir, Qu 'on lui disputerait sa place et sa pâture, Qu 'un souffle l' abattrait, que l' aveugle Nature Dans son indifférence allait l' ensevelir. Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide, Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide Qui n' entendait partout que gronder et rugir, Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres, Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres Tremblant toujours de voir un ennemi surgir.