Cas Pratique Responsabilité Civile 2017

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* En ce qui concerne l'accomplissement d'un acte matériel de complicité rendu obligatoire par l'art 121-7, il y a lieu de distinguer selon que la complicité ait pris la forme d'aide ou d'assistance ou bien d'instigation. -> En vertu de la complicité par aide ou assistance prévue par l'alinéa 1 er de l'article 121-7 du CP, est complice d'un crime ou d'un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance en a facilité la préparation ou la consommation. Pour cela, l'acte matériel de complicité doit être un acte positif, c'est-à-dire que celui qui reste passif face à la commission d'une infraction n'est pas pour autant considérer comme étant le complice de cette infraction ET cet acte matériel de complicité doit être antérieur ou concomitant à l'acte principal.... Cas pratique corrigé Responsabilité civile (PDF) | Aideauxtd.com. Uniquement disponible sur

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4. Lien de causalité Il faut nécessairement un lien de causalité entre le manquement à l'obligation contractuelle et le dommage. En l'espèce, la défaillance de l'alarme installée par la société Protector provoque un manque de sécurité et est responsable d'un bruit strident qui donne des insomnie à Madame Faitout. Ainsi la défaillance de cette alarme, qui est un manquement à l'obligation de résultat est en lien causale avec les dommages subis par la famille Faitout. Cas pratique responsabilité - TD - jtresse. B. Clause limitative de responsabilité Selon l'article 1103 « Les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits. » En l'espèce la société Protector, dans son contrat avec M. Faitout impose une clause limitative de responsabilité: « En cas de mauvais fonctionnement du système, Protector s'engage à intervenir gratuitement pendant la durée de deux ans pour assurer la réparation et l'échange des pièces défectueuses. Elle ne saurait en revanche être tenue de dommages et intérêts en réparation des préjudices que le mauvais fonctionnement ou l'indisponibilité du matériel pourrait causer ».

En outre selon la jurisprudence de la cour de Cassation du 8 juin 1994, Lynx Alarme c/SA Le Continent, tout installateur d'alarme à une obligation de résultat. Enfin, en cas d'obligation de résultat la charge de la preuve incombe au débiteur En l'espèce, M. Faitout, lors de la conclusion de son contrat attendait de la société Protector une alarme et une installation non défectueuse. Ainsi un système d'alarme à distance doit permettre le déclenchement de l'alerte dès la pénétration dans les lieux et non pas lorsqu'il n'y a pas de pénétration. Cependant au bout de quelque semaines l'alarme s'est déréglé. Cas pratique responsabilité civile des. De plus, M. Faitout subit cette installation défectueuse. Ainsi, la société Protector est tenu à une obligation de résultat et la société a manqué à cette obligation. Sa faute est donc présumée. La charge de la preuve pèse sur la société. Selon la jurisprudence il existe 3 fautes, les fautes volontaires, les fautes légères et les fautes lourdes. Ainsi selon la décision du 8 juin 1994, la Cour de cassation considère que la défaillance d'un système d'alarme constitue une faute lourde.