Qui Est La Femme De Richard Dacoury 2

Ce fan invétéré de Johnny Halliday lui a fait découvrir son idole. Et transmis (un peu) de sa passion sans limite pour le chanteur français. Ils ont également partager de nombreux concerts: Joe Cocker, Tina Turner, Blues Brothers, Diana Ross, etc. Qui est la femme de richard dacoury et. Dans la fosse ou en tribunes, Richard Dacoury – amateur de blues dixit son ami – profitait de chaque vibration comme une personne lambda. Lui qui chaque week-end faisait lever les foules à Beaublanc comme une rock-star… Kevin Cao

Qui Est La Femme De Richard Dacoury Rose

Celles pour fêter les titres, sa retraite, son jubilé, son retour, etc. Tous les prétextes étaient bons pour trinquer. Le meilleur souvenir? « On avait fait un été « no limit » où on avait enchaîné les soirées. Je me souviens d'une nuit où Richard avait confondu une porte et une fenêtre », rigole son ami. La plus marquante? « La saison où il était parti à Paris, on lui avait fait une fête surprise pour la venue du CSP, se souvient « Jo ». Puis, lors du match retour, on avait organisé une autre soirée chez Alphonse. On sentait que mon Rich était triste et qu'il était un peu nostalgique ». Quel genre de fêtard était-il? « Il s'amusait mais il ne finissait pas non plus à quatre pattes, répond « Jo Bour ». Qui est la femme de richard dacoury rose. Il aimait bien danser et chanter. D'ailleurs je me souviens d'un duo mémorable avec Stéphane Risacher sur du Marvin Gaye ». Ancien kiné du LABC, Georges Aubour (au milieu) n'a jamais soigné Richard Dacoury. Mon copain mélomane « Il adore la musique, il ne joue pas d'un instrument mais il chante plutôt bien », confie Georges Aubour.

Jusque-là, avec Didier Dobbels, nous avons été adversaires, puis partenaires, mais avant tout c´est mon ami. Là, nous allons collaborer. Je suis sûr que nous allons faire du bon boulot car nous avons une grosse envie de poursuivre le travail de Charles Biétry. ­ Dacoury entraîneur, c´est pour le moins surprenant... ­ C´est tout nouveau. Mais depuis deux ans que je suis au PSG, on en parle avec Charles Biétry. Cela faisait partie de nos réflexions. J´ai toujours le virus du terrain. Alors, il n´a pas fallu trop me pousser pour que j´accepte. Simplement, tout est allé plus vite que prévu car je ne m´attendais pas au départ de « Boja » (NDLR: Maljkovic). J´aurais bien aimé travailler avec lui. ­ Allez-vous vous inspirer des méthodes de Bozidar Maljkovic? ­ Non. Ca s'est passé un 15 avril 1993 : Le CSP Limoges devient champion d'Europe de basket. Sur certains côtés, il m´a beaucoup appris, mais Didier Dobbels a sa propre philosophie et la mienne se construit jour après jour. En fait, j´ai l´impression d´être une éponge. Dans ma carrière, j´ai eu la chance de croiser de nombreux coachs.