En Pleine Tempête : La Critique Du Film - Cinédweller

La tempête évoque quelque chose d'assez noble pour échapper à toute catégorisation. Tout est là, dans cet entre-deux entretenu: les choix des œuvres procèdent la plupart du temps de l'induit et de l'ellipse, et les rapports entre elles se découvrent ou s'inventent au fil du parcours. Familial Les premières gouttes commencent à tomber. On est dans la crainte, dans l'incompréhension de ce qui risque d'arriver. Pour embarquer, en préambule, il y avait d'abord eu cette photographie négative d'un bateau sur vagues argentiques. Avec cette légende inscrite à la main par Marcel Broodthaers: « Chère Petite Sœur, celle-ci pour te donner une idée de la mer pendant la Tempête… ». Belle entrée en matière. Après la tempête – Laura S.Wild – Les Chroniques de Mary. Le familier (artistique, fraternel, amical), dans tout ce qu'il comporte de rassurant et émouvant, s'impose d'emblée comme la clé de ce rassemblement en forme d'hommage à celle qui a cru dans les prémisses des talents de chacun des artistes présents dans l'exposition. Qui est là pour signifier cet instant d'avant le coup de tonnerre?

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Après une vie comme ça, le titre serait mieux approprié au fait de se réveiller jour après jour dans un lieu pareil. Mais c'est les vacances de Noël pendant 6 semaines et le personnage principal compte les passer avec sa copine à Sydney. Il va juste avoir le tort de s'arrêter trop longtemps dans la petite ville dans laquelle il doit prendre l'avion. Le film dénonce les jeux d'argent et l'hospitalité un peu agressive de certains australiens ce qui entraîne une forte consommation d'alcool. Le moins que l'on puisse dire est que le film a peut-être été subventionné par les bières australienne tellement la consommation de cette boisson est importante toute le long de l'histoire. Comme le dit très sérieusement un personnage, au milieu de ce lieu désertique dans lequel poussière et soleil sont omniprésents, l'eau sert à se laver, pas à boire. Terreur dans la tempete critique les. C'est cette spirale négative de boisson et de copinage viril qui entraîne le personnage principal dans une véritable descente aux enfers. Gary Bond interprète de façon très convaincante ce jeune instituteur sympathique et bien propre sur lui qui pour changer de vie va aller de mauvais choix en désastreuses idées.

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Box-office verdict: Succès estival implacable durant l'été 2000, le film catastrophe généreux de Wolfgang Petersen est arrivé en 6e place annuelle aux USA, derrière les phénomènes Mission: Impossible II et Gladiator. Réveil dans la terreur : La critique - Unification France. En France, grâce à une promo de saison efficace, le drame humain et social a fait bonne figure en première semaine, mais n'a atteint in fine que la 28e place annuelle, en raison notamment du peu d'intérêt pour le spectacle porté par les Parisiens qui n'ont été que 239. 000 à monter à bord de son rafiot. Copyrights: Warner Bros. Entertainment Inc. Critique: François Bonini Voir en streaming et VOD

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On va d'ailleurs passer par différents stades, s'attendant à l'attaque d'une bête sous la glace, ou à l'apparition de fantômes revanchards dans le froid polaire, mais rien de tout cela n'arrive à surprendre et à ne plus rien attendre au bout d'un moment, voyant bien que même le réalisateur ne sait plus où aller. Difficile de passionner le spectateur quand même le réalisateur ne sait plus quoi faire! Mais le pire dans tout cela, c'est que le film est vraiment très chiant et très long. Durant quasiment deux heures, il ne se passe pas grand-chose, à part la mort tragique de quelques explorateurs et une balade sur la neige de l'Antarctique. Alors pour les fans de films documentaires sur des explorateurs à la limite maso qui aiment dépasser leur limite pour aller dans des endroits improbables, peut être que le film pourrait leur sembler sympathique, et encore, les films sur Nicolas Vannier seraient plus appropriés, mais sinon, je ne vois pas à qui s'adresse ce métrage. Terreur dans la tempete critique de. C'est bien dommage parce que la réalisation est très propre et Pil-Sung Yim montre qu'il a du talent.

Pareillement, la fin se traîne, entre message d'outre-tombe et cérémonie larmoyante. La musique épaisse alourdit encore les scènes obligatoires: la mère et la fiancée qui regardent l'horizon, la capitaine qui se souvient des paroles du défunt, tout est trop gras, trop souligné. Et pourtant il y avait une belle idée, sobre, qui eût suffi à dire l'essentiel: un travelling sur les noms des disparus, repris dans les dernières minutes avec l'ajout de l'équipage. Tel quel, ce plan répété a la concision et la beauté simple dont on se désole que Petersen ne s'y soit pas tenu. Mais l'essentiel est ailleurs: on se souvient qu'à sa sortie, le film avait épaté par sa tempête numérique, impeccable et jamais vue. Notre terreur n’est pas à la hauteur – Coup de théâtre. Presque vingt ans après, les effets spéciaux tiennent encore le coup, malgré quelques manques de réalisme intermittents. On en prend encore plein les yeux, d'autant que le cinéaste se consacre entièrement à l'action: voir le bateau affronter des montagnes de mer, se soulever et retomber lourdement, vibrer avec Clooney tentant de découper une chaîne dangereuse, ça ne se refuse pas.

Réalisé par: Alexandre Aja Distribution: Kaya Scodelario, Barry Pepper, Ross Anderson, Anson Boon, George Somner, Ami Metcalf, Jose Palma Genre: Horreur Qualité: Numérique Synopsis Alors qu'elle tentait de sauver son père lors d'un ouragan de catégorie 5, une jeune femme se retrouve coincée dans une maison inondée et doit se battre contre les alligators.