Les Deux Bonnes Sœurs - Charles Baudelaire | Speakerty

Commentaire de texte: Lecture Analytique Les Bonnes de Jean Genet. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 5 Juin 2016 • Commentaire de texte • 1 657 Mots (7 Pages) • 53 517 Vues Page 1 sur 7 Séquence 2: Lecture Analytique n°1 de Les Bonnes de « Solange, doucement d'abord…. » à « et tu n'as pas pu aller jusqu'au bout. » Introduction: « Une pièce pour temps de décadence » (un critique du Figaro en 1947) le scandale de cette pièce inspirée par un fait divers sanglant (le crime des sœurs Papin, un fait divers sanglant…) Ce dernier fut mis à distance et réinvesti par un auteur sulfureux, J. Les deux bones soeurs analyse . Genet (rappeler les principaux éléments de sa biographie). Dans un contexte historique et littéraire agité: le nouveau théâtre, la philosophie de l'absurde, l'après 2 ème GM (contestation de la IVème république) Les Bonnes: une tragédie moderne dont les personnages principaux ne sont pas des personnages nobles ou divins, mais deux sœurs, Claire et Solange, deux domestiques travaillant au service d'une bourgeoise appelée « Madame ».

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La Débauche et la Mort sont deux aimables filles, Prodigues de baisers et riches de santé, Dont le flanc toujours vierge et drapé de guenilles Sous l'éternel labeur n'a jamais enfanté. Au poëte sinistre, ennemi des familles, Favori de l'enfer, courtisan mal renté, Tombeaux et lupanars montrent sous leurs charmilles Un lit que le remords n'a jamais fréquenté. Et la bière et l'alcôve en blasphèmes fécondes Nous offrent tour à tour, comme deux bonnes sœurs, De terribles plaisirs et d'affreuses douceurs. Analyse : On ne badine avec l'amour d'Alfred de Musset - Mister Prépa. Quand veux-tu m'enterrer, Débauche aux bras immondes? Ô Mort, quand viendras-tu, sa rivale en attraits, Sur ses myrtes infects enter tes noirs cyprès? Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

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3°- La confrontation de deux univers Cette confrontation de la bonne et de sa patronne est avant tout une affaire de rivalité féminine. Deux portraits antithétiques s'opposent: celui de madame et celui de la bonne Madame: une féminité exacerbée: elle est définie par sa « poitrine », « ses cuisses », ses « pieds » + des matières précieuses. Madame apparaît comme une divinité, une idole (elle est « auréol[ée] par le danger) qui prive la bonne de tous les attributs de la féminité. Les Bonnes, Genet - Commentaire de texte - BAC de français | ExpoEtude. Voir le champ lexical du vol: « dérober », « m'en priver », « me prendre »; répétition de « et m'en priver » et énumération des attributs de la féminité La bonne est l'antithèse de madame: univers domestique des travaux ménagers: univers prosaïque: parallélisme « vous avez vos fleurs, j'ai mon évier », homéotéleute: « gants » « dents », la bonne est présentée comme un être souillé et impur, champ lexical de la puanteur: « exhalaisons », « odeur de mes dents », « rot ». Son nom, Claire, est en contradiction avec son apparence: elle n'est que « ténèbres…infernales » « Devenez plus belle pour les mépriser.

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¹ robe blanche ou rouge l'Infériorité: jeu de Claire+ posture de Solange-Claire: « s'accroupie « se met a genoux » Ces deux bonnes sont présentées comme communes et sans atouts. II) Le théâtre dans le théâtre: la mise en abyme a) Le rôle de « madame » ou celui d'un personnage ambivalent et tyrannique Jeu de rôle: « Clair » réplique claire: Claire –> madame; Solange –> Clair Madame raffiné et vulgaire (oxymore): façon dont elle est joue par Clair: périphrase « le voile de votre salive » « les brume de son marécages »: Héroï-comique (oxymore) « crachat » L'ambivalence du personnage: manière de parler de Solange Claire: tutoie et vouvoie. supériorité: la longue réplique de « Madame » > réplique Solange: tyrannie.

On oublia sciemment les Capétiens. Analyse des images Contre tout usage, Napoléon souhaita se couronner lui-même et couronner l'impératrice Joséphine, ce malgré le désir du pape de procéder au sacre et au couronnement. Pie VII se contenta de bénir la couronne. Les deux bones soeurs analyse la. David représente le moment où l'empereur couronne Joséphine. Dans cette vaste frise, on reconnaît autour des trois principaux protagonistes Cambacérès et Lebrun, ex-consuls devenus respectivement archichancelier et architrésorier, Talleyrand, Eugène de Beauharnais, les nouveaux maréchaux ainsi que les sœurs de Napoléon, chargées de porter la traîne de Joséphine. On notera dans la tribune la présence de Madame Mère, qui en réalité était absente lors de la cérémonie. David s'est aussi représenté dans cette tribune, signature traditionnelle dans le milieu artistique. Impressionnante galerie de portraits, le Couronnement est conçu comme la rencontre de deux mondes, l'un sacré à droite descendant vers un monde laïc à gauche. Napoléon est ainsi le lien qui s'établit entre la divinité symbolisée par Pie VII et l' univers républicain duquel il est issu.