Aimer À Perdre La Raison (Chanson) — Wikipédia

Glose: Aimer à perdre la raison par Louis Vibauver Sans souci de m'assujetir, Aimer à perdre la raison Est le seul vœu auquel j'aspire Et dès lors brûlant de passion, Aimer à n'en savoir que dire Tant nos cœurs sont à l'unisson. Je suis soumis à ton empire À n'avoir que toi d'horizon Et de soleil que ton sourire: Je ne veux rien d'autre chérir Et ne connaître de saisons Que celle de tes doux soupirs. Il ne m'est de pire affliction Que par la douleur de partir Je n'endure sans guérison; Lors accroché à mon délire 'Aimer à perdre la raison', Je vis de ton seul souvenir. Poeme aimer à perdre la raison ferrat. D'après un extrait des chants du Medjnoun dans le recueil 'Le fou d'Elsa'de Louis Aragon et mis en musique par Jean Ferrat:
Aimer à n'en savoir que dire
À n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur de partir
Aimer à perdre la raison',

Poème posté le 11/04/16 Poète

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Jean Ferrat - Aimer à perdre la raison (Poème de Louis Aragon) 1971 HQ STEREO - YouTube

Poeme Aimer À Perdre La Saison 3

Cette chanson est une adaptation, par Jean Ferrat, du poème d'Aragon, Aimer à perdre la raison, paru dans le recueil Le fou d'Elsa (1963). Sortie en 1971, la chanson est ici reprise par les Enfoirés pour leur campagne des Restos du coeur 2007. Au passage… Navigation des articles

Poeme Aimer À Perdre La Raison Ferrat

Aimer à perdre la raison - Poeme de Louis Aragon - - YouTube

Poeme Aimer À Perdre La Raison Jean Ferrat

Une glose est aussi un poème qui parodie un autre poème en encadrant chacun de ses vers par un vers inédit. Il s'agit ici du poème d'Aragon 'Aimer à perdre la raison' dont la police des vers est différenciée. Sans souci de m'assujettir, Aimer à perdre la raison Est le seul vœu auquel j'aspire Et dès lors brûlant de passion Aimer à n'en savoir que dire... Voir la suite

L'infinitif descriptif « Aimer à perdre la raison », où le poète parle de ce qu'il appellera l'année d'après « le malheur d'aimer » devient ainsi, sous la musique de Ferrat, un idéal, sinon une prescription, dans les années qui suivent immédiatement celles du « Flower Power » anglo-américain.