PoÉSies Des Arbres

Invocation à la paix - poésie parlée Native american music sacred spirit -yeha noha Tous les écrits que je publie dans ce site sont des extraits de mes publications en français ou en italien et seront protégés par copyright. Qui le désire pourra partager les citations de ces textes sur les réseaux sociaux à condition d'écrire le nom de l'auteur. Marine LOU POUEYOU dit: 23/2/2020 Je découvre, c'es beau, la nature, les arbres, tout ce que j'aime.... Kamel Meslem dit: 7/3/2019 Que c'est merveilleux! voyager à travers les paroles, le chant des oiseaux dand un paradisiaque. En forêt - Germain NOUVEAU - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. au pied d'un arbre comme un enfant dans les bras de sa mère les branches remplies de fruits se penchent vers la terre. Bravossima toutes mes félicitationss Nadine dont l'espoir de voir tes oeuvres publiés un jour.

  1. Poésie en foret
  2. Poésie en forêt des pluies
  3. L'école de la forêt poésie

Poésie En Foret

Stephen BLANCHARD DIJON - Songes d'automne Lorsque le temps rongé par la rouille d'automne Déploie ses larges bras aux filets de ses ans La lumière s'émeut et les vents frissonnent Aux souffles qui se livrent sous les ors du Levant. Le brouillard s'interroge à conte jour du temps Par les routes mordorées que le soleil enflamme Et l'arbre à demi nu épouse nonchalamment Les caresses alanguies des brumes qui se pâment. L'azur emmitouflé à l'âme d'un funambule Les nuages dans la brise moutonnent à l'infini Et le matin ondoie lorsque le jour s'enrhume Sur des près insouciants aux senteurs assouvies. Poésie en forêt des pluies. Les ombres s'entrecroisent aux lèvres du silence Et les bancs des amants sont désormais jaunis Les rameaux se défeuillent au rythme des errances Car l'automne en secret brode ses songeries. DIJON -

Poésie En Forêt Des Pluies

Longtemps j'ai cheminé sous la verte ramure, Surprenant le Pic-Vert effrayant l'écureuil, Ecoutant dans le vent le langoureux murmure, Que font les chants d'amour des Pies et du Bouvreuil; Puis soudain devant moi c'est dressé le Grand Chêne, Noueux, majestueux, semblant être le roi, De ce monde enchanté nature souveraine, Toile d'impressionniste exposée devant moi. Un groupe d'escargots qui lentement chemine, Pareils aux pèlerins marchant vers Compostelle, Croise les bons jolis que fait la rousse hermine, Poursuivant dans son jeu la verte sauterelle; Masquée par les buissons, une biche surveille, Son faon qui quelque peu se perd dans les sous- bois, Spectacle si touchant, qui toujours m'émerveille, De la mère pour l'enfant constamment en émoi. Le jour qui déclinait là-bas sue la colline, De cette féerie fit s'écarter mes pas, Je me suis retiré d'une allure féline, Craignant de déranger ce petit monde là; En formulant des vœux pour revenir toujours, Sous le dôme élancé de ce feuillage épais, Pour rechercher l'appui, implorer le secours, Du divin créateur de ce havre de Paix.

L'école De La Forêt Poésie

faites que vive éternellement la forêt Où le temps se suspend et fait oublier la misère des hommes. 21 avril 2015

Il était des racines au bout de l'arbre - Racines dignes de vie Vignes de chance Vignes de cœur - Au bout des racines il était la terre - La terre tout court La terre toute ronde La terre toute seule au travers du ciel La terre. Robert Desnos Poète français (1900-1945) Mon vieux chêne Je me suis adossé au pied de mon vieux chêne Dont le cœur s'est brisé par l'usure des ans Et j'ai senti monter en moi comme une peine Cet arbre que j'aimais n'a plus beaucoup de temps. Poésie en foret. Son tronc est plissé comme un beau centenaire Et ses racines ont bu toute l'eau des saisons Il n'a pour seul ami qu'un grillon solitaire Et des oiseaux ravis pour unique passion. Des chuchotis s'animent au bout de ses branches Et le vent hurlant de par la brande pleure L'été s'en est allé et son âme s'épanche Sur quelques graffitis bien connus des flâneurs. Et son corps va mourir aux franges du destin Les heures du cadran sont désormais comptées Il partira sans but dans le morne matin Et je serai présent pour l'écouter pleurer.