55 000 Hectares Pour La Nature - A'Urba, Agence D'Urbanisme Bordeaux Aquitaine

Synthèse des propositions Ce document fait la synthèse des propositions formulées par les 4 équipes retenues pour la phase 2 de la consultation des 55 000 ha pour la nature. Ces propositions ont été rendues en juillet 2014. Ce document a pour premier objectif de servir de base à une synthèse plus générale, complétée par la Direction de la Nature, qui sera largement diffusée fin 2015. Son second objectif est de fonder, à partir des propositions de chaque équipe, une culture du projet de dimension métropolitaine qui sera approfondie par des ateliers de travail multi-partenariaux à l'automne 2015. Composition de l'étude Ce document se compose de 4 parties, dédiées chacune à la synthèse du travail de chaque équipe. Chaque partie articule un volet stratégique, un volet méthodologique et un volet propositions. Ces synthèses ne sont pas exhaustives mais réunissent les axes majeurs développés par chacune des équipes, associés à des propositions concrètes faites sur les sites étudiés. 55000 hectares pour la nature dans. En conclusion, les différentes propositions sont comparées et des pistes de mise en œuvre à plus ou moins long terme sont esquissées.

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Un objectif très ambitieux, qui pourrait se heurter frontalement aux ambitions de croissance économique de Bordeaux. La question va se poser de façon aiguë dans certains territoires objets de nombreux intérêts (immobiliers, économiques), notamment les forêts de l'ouest de l'agglomération, et les zones humides de la Jallère, autour du nouveau stade. Des projets en carton pour la Jallère? (SB/Rue89 Bordeaux) Ce quartier, sur lequel planche actuellement le cabinet de Nicolas Michelin, a d'ailleurs fait l'objet d'un concours dans le cadre d'Agora (voir ci-dessous). Et les principales conclusions de la plupart des projets en lice sont sans appel: pour être bas carbone et résiliente, l'urbanisation devra se fondre dans le paysage, et non plier ce dernier à ses règles. 55000 hectares pour la nature et l'homme. Ce qui n'est pas encore la vision de tous les élus de la métropole, regrette Clément Rossignol-Puech: « Il y a encore un gros travail à faire de compréhension et d'intégration des grands paysages métropolitains naturels. On a redécouvert la Garonne, pas encore la longue façade le long de la Dordogne dont on ne parle jamais.

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Mais on n'a pas encore pris conscience de l'atout que représentent ces grands paysages comme les jalles et la forêt sur la rive gauche, les coteaux sur la rive droite. Il faut que la métropole repense son projet urbain autour de ces atouts, et change son regard. Pour l'instant, c'est balbutiant ». 55 000 hectares pour la nature - Bordeaux Métropole. Agora pourrait semer le doute dans certaines certitudes. Palun 15%, le marais du futur Sponsorisé par EDF, « Bordeaux respire » proposait aux équipes concurrentes d'imaginer en 2050 un aménagement bas carbone du site encore occupé pour quelques temps par la Caisse des dépôts. 4 projets ont été retenus, et sont exposés pendant Agora à la Base sous-marine. Certains se complaisent dans de la SF post-apocalyptique (Axonomia), d'autres planchant sur des propositions tantôt sérieuses, tantôt délirantes et/ou technophiles (le Bocage urbain). Le lauréat est le projet « Palun 15% » – double référence au terme occitan désignant le marais, et à l'effort restant à fournir pour être à zéro émission lorsqu'en 2050, la France aura atteint le facteur 4 (division par 4 de ses émissions de GES).

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Le paysagiste, architecte et ingénieur Bas Smets, commissaire d'Agora 2017 (SB/Rue89 Bordeaux) La prochaine édition d'Agora, biennale d'architecture et d'urbanisme, se tiendra en 2017 à Bordeaux, et sera consacrée au paysage. Son commissaire, présenté ce lundi, est Bas Smets, architecte paysagiste belge. Le paysage thème d'Agora 2017, Bas Smets commissaire. En attendant, des évènements et publications seront proposés sous l'appellation « Agora le mouvement ». En 2016, l'exposition d'architecture et d'urbanisme Agora passera son tour, et se déroulera du 21 au 24 septembre 2017. Non pas pour opter pour un rythme triennal, mais « pour se plier à une actualité chargée dans les années à venir », souligne Elisabeth Touton. Lors d'une conférence de presse ce lundi à Bordeaux, l'adjointe au maire en charge de l'urbanisme rappelle que « l'Euro 2016 va nous mobiliser tous ». Et en 2017, l'arrivée de la ligne à grande vitesse est « un symbole très fort, celui de l'entrée dans la catégorie des grandes métropoles européennes, auquel il nous a semblé important d'associer Agora », à travers notamment un partenariat avec la SNCF.

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« Bordeaux peut par exemple se servir des jalles, méconnues et en grande partie canalisées, pour créer des continuités végétales », poursuit Bas Smets. Le long de l'Indus et de la Peugue Le Peugue est ainsi l'objet d'un des films projetés dans l'installation vidéo subjuguante, réalisés avec Christian Barani dans cinq villes du globe (et diffusés simultanément dans cinq versions différentes sur autant d'écrans). Avant de se jeter dans la Garonne au niveau du pont de pierre, la rivière prend sa source à Pessac, passe au Bourgailh, traverse Mérignac, où se trouve le moulin de Noës, puis se retrouve canalisée sous les artères bordelaises. 55000_hectares_pour_la_nature | Éo, toutes architectures. Les images sans commentaire de « Bordeaux, une amplification de la nature », comme celles tournées à Hong Kong, Hyderabad, Bruxelles et Singapour, n'apportent pas de réponses clé en main et n'érigent pas de métropole en modèle définitif. Elles se contentent de montrer comment le paysage est domestiqué par l'homme, ses constructions et ses usages, et c'est déjà édifiant.

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Il s'agit de prendre possession de la situation actuelle qui est un luxe: un délaissé sur lequel des arbres plantés créent une opportunité pour un projet en partant du logement: un hall qui est une forêt, des logements dans les arbres, des vues dégagées sur le lac et un ensoleillement idéal. Les délaissés génèrent une temporalité, des temps intermédiaires, qu'il s'agit d'utiliser et de coudre à l'urbanité existante: l'école, le quartier et au delà les Aubiers. 55000 hectares pour la nature film. Une casse auto, un (joli) ouvrage technique, un hypermarché, un hôtel F1, une station service, un mac do, un point P… La situation ne paraît pas tout à fait propice aux logements de nos rêves. Oui, MAIS… en partant du logement: un panorama sur un grand paysage vraiment grand (10m NGF), une zone maraichère comme une contrepartie au collectif, un terrain dont il faut anticiper la situation antérieure et des voisins qui peuvent rendre des services en toute aménité…C'est l'embryon de la ville de demain!

Plusieurs domaines d'intervention identifiés: le coeur des villes, où il faut réapprendre à se tourner vers le paysage et redécouvrir la biodiversité les grands espaces agricoles et forestiers, avec l'encouragement aux productions « bio » consommées localement et une ouverture au public de certains de ces espaces la valorisation des zones humides ou inondables où il s'agit de favoriser une mixité d'usages l'affirmation de trames verte et bleue l'affectation des friches et espaces en mutation à des projets nature. Aujourd'hui, la moitié des 55 000 ha de la Communauté urbaine se présente sous la forme d'espaces naturels et agricoles. Cet équilibre constitue à la fois un trait marquant de l'identité du territoire et un atout pour un développement durable de la métropole, à condition de renverser la tendance actuelle à l'étalement urbain qui contribue au grignotage de ces espaces. C'est la première fois que le rôle de la nature dans une agglomération est ainsi appréhendé, aussi bien dans ses fonctions sociale (loisir, cadre de vie), qu'économique (agriculture urbaine, tourisme vert) ou environnementale (biodiversité).