La Fin De L Automne Francis Ponge

Le poète appuie sur cet échec apparent en précisant qu'avec cette tisane il n'y a « pas de fermentation » (l. 3) donc pas « de création d'alcool » (l. Ponge fait aussi une référence au domaine médical: « une application de compresses sur une jambe de bois » (l. 5) pour confirmer cette absence de résultat car l'acte qu'il mentionne ne sert à rien, ce qui montre l'échec total, l'inutilité de l'automne d'après lui. Cette image utilisée est saisissante et fait appel à l'imagination du lecteur. Le deuxième alinéa traite également de la chute des feuilles mais aussi du motif du processus de dépouillement. Le poète revient donc au processus et non à l'aboutissement. Il met en place une nouvelle ligne métaphorique en comparant la saison à un « scrutin » (l. 7) qui repose sur l'assimilation de bulletin de votes désignant les feuilles mortes. Pour définir l'automne il utilise également le champ lexical du Francis ponge - la fin de l'automne 842 mots | 4 pages La saison ou plutôt une partie de saison de l'automne.

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Voilà, j'espère que vous pourrez m'aider! Merci

On est invité à reconstruire la saison à partir de la sensation immédiate et quotidienne, et cet enjeu nécessite un mouvement de destruction et de reconstruction qu'illustre sa progression. > le début du poème inaugure une fin, comme son titre. III. L'objeu et l'objoie: A. Le plan du poème > le poème poursuit deux mouvements successifs: une description de quatre paragraphes égaux en longueur et qui ouvrent sur un univers mouillé, puis un commentaire en quatre volets où domine le langage oral et familier (phrases sans verbes, exclamatives). Plus de progression spatiale ou temporelle, mais des constats sur la permanence de l'eau synonyme de régénération. La phrase centrale qui sépare les deux parties exprime cette activité régénératrice B. l'objeu > les deux néologismes (grenouillerie, amphibiguïté) orientent notre lecture d'une régénération. La grenouille, animal amphibie, saute de pierre en pierre (ce qui est souligné par les allitérations en p) et son ambiguïté de nature évoque la terre infiltrée, et contamine « tout ».