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Le recours systématique aux gros plans et le montage syncopé rappellent par moments l'hystérie des moins bons films de Patrice Chéreau ( Ceux qui m'aiment prendront le train)... Ça parle beaucoup, ça soliloque, ça tourne méchamment en rond ou ça fait du surplace. Analyse prologue juste la fin du monde. Rien ne se dit, au fond. On a compris que c'était là le sujet: la claustration et la frustration de chacun, le déni, l'impuissance. Mais c'est moins cela en vérité qui est ici ausculté que la propre vanité de Dolan, ivre de son cinéma. Typique d'une forme de néo-pompiérisme de cinéma d'auteur, Juste la fin du monde est juste d'un ennui mortel. – Jacques Morice Cannes 2016 Gaspard Ulliel Jean-Luc Lagarce Léa Seydoux Marion Cotillard Nathalie Baye Xavier Dolan Partager Contribuer Sur le même thème

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Je ne veux pas savoir ce que tu fais ici, tout n est pas exceptionnel dans ta petite vie. Dans ce monde qui n'a jamais vraiment cessé d'être violent, où la glace fond et les esprits s'échauffent, on ne communique plus. On ne cherche plus à savoir. Le sens des choses ne compte plus. Personne comprend rien, personne comprendra jamais rien. Pas de drame. Ce n'est juste que la fin du monde, la fin d' une vie cachée. Cela pourrait être pire. Juste la fin du monde | Psychologies.com. On manie l'euphémisme comme une façon de se rassurer. En essayant de se convaincre que le nouveau monde ne sera pas si terrible. LE TRAILER Cette explication n'engage que son auteur.

Cinéma Publié le 21/09/16 mis à jour le 08/12/20 Partager Xavier Dolan poursuit son analyse des névroses familiales. Cette adaptation – primée à Cannes – d'une pièce de théâtre de Jean-Luc Lagarce, divise nos critiques. POUR Ce sixième long métrage de Xavier Dolan est aussi le premier où nul accent québécois ne retentit – les acteurs sont tous français. Il y a déjà un petit miracle dans la préservation du style du cinéaste sans sa signature sonore la plus repérable. “Juste la fin du monde”, de Xavier Dolan : un film bouleversant ou insupportable ?. L'équilibre, plutôt le déséquilibre, entre outrance et acuité, entre drame et comédie, qui a fait l'éclat des films précédents, est bien là, tout de suite, mais dans une autre « musique ». Presque une langue différente. D'emblée, il y a aussi la force de la pièce de Jean-Luc Lagarce que Xavier Dolan adapte, en la modifiant beaucoup. Avec ce texte reviennent, en filigrane, les douleurs d'une époque déjà lointaine, où il était fréquent de mourir du sida — comme Lagarce, en 1995. Et où l'homophobie, plus virulente encore qu'aujourd'hui, déchirait les familles concernées.