26000 Valence : Maison D'arrêt

Faits divers Quatre détenus de la maison d'arrêt de Valence participaient à une sortie au zoo mardi 3 mai, au cours de laquelle l'un d'entre eux s'est évadé. Publié le 4 mai 2022 à 16h06 Image d'illustration © KONRAD K. /SIPA Le zoo d'Upie, situé dans l'agglomération de Valence (Drôme), a été le théâtre d'une évasion, mardi 3 mai. Quatre détenus emprisonnés dans la maison d'arrêt de Valence y participaient à une sortie encadrée par des surveillants. L'un d'entre eux a alors simulé une envie pressante, avant de profiter de son isolement pour prendre la fuite, raconte Le Dauphiné Libéré. L'homme, âgé de 43 ans et originaire du Rhône, a été condamné pour des faits d'extorsion et de viol sous la menace d'une arme. A LIRE Toulouse: quatre personnes interpellées après une évasion rocambolesque Un vaste dispositif de recherche mis en place Un temps simplement recherché par les agents de l'administration pénitentiaire, le détenu est depuis la cible d'un vaste dispositif mis en place par la gendarmerie.

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De l'ancienne maison d'arrêt, il ne reste que la porte emblématique donnant sur l'avenue de Chabeuil. Derrière cette porte, se trouve un terrain de 7 000 m 2 sur lequel vont pousser une résidence senior et une autre pour les étudiants. Jeudi 1 er octobre, une première pierre symbolique a été posée en présence du maire de Valence, Nicolas Daragon, et de nombreuses personnalités. Un projet phare pour un quartier en mutation Mais c'est en mai qu'ont commencé ces travaux qui doivent durer jusqu'en 2022. Ce sont 48 logements pour les seniors et 80 pour les étudiants qui pousseront sur ce site, dans un objectif de mixité intergénérationnelle. La végétalisation y sera très présente et les matériaux employés amèneront confort et économie d'énergie. Une réalisation d'un coût global de 6 831 578 € pour la résidence seniors et de 4 964 778 € pour la résidence universitaire. 0 COMMENTAIRE

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Trois jours après la violente agression dont il a fait l'objet, le détenu âgé de 29 ans gravement blessé lors d'une rixe survenue samedi 19 juin dans la cour de promenade de la maison d'arrêt de Valence est toujours entre la vie et la mort. Dimanche 20 juin, sur demande du parquet de Valence, des enquêteurs de la sûreté départementale ont interpellé un détenu, un homme âgé de 20 ans, soupçonné d'être l'auteur de la violente agression. Placé en garde à vue, il devrait être déféré ce mercredi 23 juin devant un juge d'instruction, en vue de l'ouverture d'une information judiciaire. Il s'agit pour la justice de comprendre les raisons qui ont pu conduire à cette agression et comment la rixe s'est déroulée. Après les faits, le syndicat Ufap-Unsa justice réclamait des mesures, notamment « la fouille complète de l'établissement et le retour des palpations lors des départs en promenade ». La direction du centre pénitentiaire se refuse à tout commentaire, confirmant cependant: « Il y aura des sanctions disciplinaires et pénales.

Les locaux et les cours sont exigus et la gestion sécuritaire, par les portes fermées, amplifie l'atmosphère de claustration ce qui, pour des personnes condamnées arrivant de maisons centrales dans lesquelles le régime est plus souple, notamment avec l'existence de salles de convivialité, est un retour en arrière difficilement acceptable. Les premières personnes qui y ont été détenues ont organisé des mutineries et incendié les locaux avec pour objectif d'obtenir leur transfert vers d'autres établissements, ce qui n'a été le cas que pour quelques « meneurs », le quartier adjacent alors en fin de construction ayant été mis en service. 2 – La complexité de gestion de cet établissement réside dans le concept même d'une structure regroupant deux entités aux modes de fonctionnement différents, induisant notamment une organisation stricte des déplacements de manière à ce que les deux populations pénales ne puissent se croiser. Cette configuration entraîne un dysfonctionnement systémique. L'inadaptation de la coexistence de ces deux régimes au sein du même établissement trouve une illustration dans la juxtaposition du quartier disciplinaire de la maison d'arrêt et du quartier d'isolement, commun mais situé à la maison d'arrêt.